@ gwenvipb : bonjour, je pense que vos difficultés (arbres en travers du sentier) devaient se trouver entre le Piton de Bois Vert et le Piton Lardé, car nous, sur la randonnée 1251 nous n'avons pas du tout eu ces obstacles du Piton Lardé jusqu'au village de Jacques Payet.
En tout cas bravo pour vos efforts !

Bonjour, voilà une belle boucle pour les amateurs de sentiers forestiers, revue et corrigée avec Jean-Paul le 16/07/25.

Nonobstant la rareté de points de vue sur toute la boucle, et en tenant compte des caprices de la météo pouvant transformer la Vallée Heureuse en « Vallée Pluvieuse » 😅😂(je paraphrase Jean-Paul là ) , le parcours en lui -même vaut le déplacement ; sentiers frais et verts (et glissants!) , route forestière, racines noueuses, bois de couleurs, cryptomérias, sabres et même calumets...
Le parcours débute par une montée douce depuis le village jusqu’à la route forestière plate et agréable (PHOTO 1).

Il s’ensuit une montée relativement abordable mais constante jusqu’au point 1450 (PHOTO 2). Bon entraînement pour le souffle et les jambes.

Nous n’avions pas trop de craintes sur la viabilité de la majeure partie de la boucle car de bons retours nous étaient parvenus (commentaire de Sophie M, photos de trailers sur Facebook il y a quelques mois…)..

En revanche des interrogations subsistaient au sujet de la ligne domaniale :
comment était-elle  à cette époque de l’année ? Pourrions-nous l’emprunter ?

Eh bien nous avons été agréablement surpris !
Si en effet le sentier se resserre, il reste toujours visible et se suit sans problèmes, même lors des passages de (belles) ravines (PHOTO 3).

Les sabres en bordure n’empêchent pas le passage et on peut voir par endroits que les longues feuilles ont été coupées, preuve d’un entretien et d’un usage récent de cette ligne domaniale.

Cette ligne n’est ni envahie ni bouchée.

Le seul désagrément serait peut-être l’humidité actuelle de la végétation ; un pantalon épais et une veste supprimeront cette gêne.

Au bout de la ligne (au Piton Lardé), le sentier finit par s’élargir de nouveau et commence alors une longue descente jusqu’au village.

Cette dernière partie peut paraître interminable, mais le vrai souci se révélait être le sol boueux et glissant du sentier qui réfrène les accélérations (PHOTOS 4 et 5).

Au final, c’est une boucle tout à fait valable.
Marcheurs, coureurs et chiens y trouvent leur compte !
Son point d’intérêt est le sentier lui-même parce qu’il dépayse, repose et nous fait côtoyer la belle forêt de Jacques Payet.

@ Bricephoto : la boucle est toujours d'actualité.
Je crois que vous avez fait une confusion :
le Chemin Potier utilisé par Randopitons est toujours bitumé et utilisé par les automobilistes.
On y passe à pied sans problème pour rejoindre la RD et ND Des Champs.
Impossible que cette route soit fermée par des agriculteurs !

Vous avez dû prendre le chemin bétonné qui se nomme aussi " chemin Potier" et qui effectivement est condamné par les riverains fatigués des passages fréquents.

Il faut suivre la trace donnée par le site, elle est fiable .

@ Fanch : et je comprends maintenant ton ravissement .
Ce tunnel polycéphale vaut à lui seul le déplacement.
N'eussent été tes explications et la motivation de Jean-Paul , nous risquions bien de manquer un site notable .
Je le referais bien, histoire de poursuivre le renforcement musculaire 😇.

Merci Fanch 🙏😊

La visite prolongée des tunnels relève vraiment l'intérêt de la balade.
Il serait dommage de passer à côté.
Mais il faut impérativement se munir d'une lampe frontale et surtout d'un casque.

Après avoir trouvé la vasque recueillant l'eau de source et l'avoir dépassée, Jean-Paul et moi avons remonté le tunnel de gauche, celui qui est ajouré de "fenêtres" bordant le vide. Donc avec un certain éclairage naturel (PHOTOS 1 et 2).
Et de belles vues sur le relief extérieur, ainsi que certaines sensations !

C'est le tunnel le plus exigeant physiquement, car, s'il n'est pas très long, vous oblige à marcher à 4 pattes. Il est impossible de se redresser.
En plus, il est en légère montée, ce qui demande au retour un effort supplémentaire aux bras qui supportent davantage de poids.
Il n'est pas toujours évident de ne pas tremper le genou dans l'eau qui y circule.
Ce tunnel s'achève avec la le départ de la source (PHOTO 3).

Le second tunnel part à droite et réclame la frontale; il est plus agréable et moins fatigant, parce qu'on peut y avancer plus rapidement, bien qu'il oblige à se courber.
De même, il est plus facile d'éviter de piétiner la rigole alimentée faiblement dans ce tunnel plus large que le premier (PHOTO 4).

A un moment, un autre tunnel part en épingle sur la gauche du tunnel principal;
il se termine par une ouverture donnant sur une falaise verticale et plus bas la ravine.
Attention à ne se pas s'y précipiter. (PHOTO 5).

Belle visite, mais à ne pas faire seul.

Bonjour, nous avons fait ce petit circuit intéressant des Hauts de Saint-Leu, concocté par Fanch, bien inspiré en ce moment.
Une source invisible depuis la route est trouvée grâce à une courte remontée de la Ravine de la Chaloupe (PHOTO 1).
Après un passage obligé par la route, les zones habitées et quelques pistes, c'est une belle remontée de la Ravine de la Petite Chaloupe (du moins une partie) qui s'annonce (PHOTOS 2, 3 et 4 - 3 : paréidolie de tête de chien ou boeuf)).
Ce fut un passage positif pour moi, dans l'objectif de me réhabituer aux remontées de ravine à fond basaltique.
Celle-ci est plutôt aisée. Elle sollicite quand même les épaules et le dos !
Ce n'est pas la ravine la plus belle que j'aurais rencontrée, mais au moins elle est accessible; Garance l'a nettoyée, malgré la présence de détritus évoquant tout un garage automobile !
Le retour se sera fait par la route et ensuite par de nombreux lacets traversant des parcelles de canne à sucre.
A ce niveau, les points de vue sur la côte sont satisfaisants; ils m'ont rappelé de nombreuses sorties à Saint-Leu donnant le même type de panoramas (PHOTO 5).

J'ai pu aussi observer qu'une certaine chaleur s'installait à la fin de la boucle, ce qui m'a fait dire que cette randonnée est à faire de préférence en hiver....sinon, il mieux vaut prévoir une bonne quantité d'eau.

Bonne sortie pour les amateurs de remontée de ravine ou ceux qui aiment découvrir les hauts de l'Ouest et leur cadre de vie.

Merci à Fanch pour l'idée.

Merci Randopitons !

Même son de cloche que Jean- Paul :
toute la boucle est viable et les sentiers utilisés sont praticables.
Superpîénu avait déjà bien décrit en février 2025 ce que nous avons constaté aujourd'hui : le sentier s'est rétréci mais il ne se perd des yeux à aucun moment; on avance sans hésiter.
Ce n'est pas du hors sentier.
Un pantalon imperméable ou épais évitera éventuellement de trop se faire mouiller par les jouvences humides; le randopitonneur devra surtout avancer et ne pas supposer que le sentier se bouche à 30 m. devant lui .
Les vététistes ne semblant plus passer par ces raccourcis , ce sera aux randopitonneurs de perpétuer ces sentes par leurs passages.
Sinon, il y a la route, mais c'est plus long !
Conclusion : c'est toujours une belle balade, avec une trace encore valable .

@ Christian L : bravo à toi pour ta motivation et merci.

Bonjour, ce parcours original a été pratiqué samedi dernier.

Tout est conforme à la fiche et à trace . J’ai bien aimé.

PHOTOS 1 et 2 : cette première partie, du point de départ (parking) au deuxième tunnel est facile et serait même familiai à mon avis (avec quelques règles de prudence, notamment lors du passage de la RD17) .
On longe agréablement (mais trop brièvement) un canal pour rejoindre des sentiers bien connus et largement empruntés par les habitants, et ceci dès les aurores.

J’ai aimé cette première partie pour la variété de ses sentes : bitume, sable noir, « escalier » de rondins de bois, piste DFCI, sentier bordé d’herbes, un premier tunnel à traverser...

C’est après le tunnel n°2 (photo 2 - en bas à droite), au lieu nommé « la Gare » que l’on rencontre l’« aventure » dans cette portion envahie où je me suis amusé à chercher l’ancien sentier en collant plus ou moins mes pas à la trace affichée..(voir photo 11 du site)

La trace est précise, donc fiable ; des écarts sont même possibles du moment qu’on ne perde pas de vue la direction prise et celle à prendre.

On contourne des arbres, des herbes, des chocas pour ensuite trouver une sente suffisamment nette et rectiligne et ne pas hésiter.

PHOTOS 3, 4 et 5 : l’accès aux deux petites boucles porte son lot d’efforts physiques, de difficultés d’orientation, et même de court hors sentier ; on reste attentif à sa position sur la carte afin de ne pas manquer une bifurcation ou un prochain tunnel à traverser.

Parfois la sente semble disparaître pour réapparaître ensuite.

Cette partie est plus difficile mais plus originale que la première : dunes de sable, « toboggan» de sable fin, ravine au fond basaltique (Ravine du Ruisseau), canyon de sables agglomérés sont autant de petites trouvailles pour le marcheur .
J’ai trouvé le cheminement plaisant malgré, ou à cause des obstacles présents, surtout les parties en hors sentier, somme toute relatif (bien lire la fiche).

Et puis, ces vues sur le village de Bois Blanc et la Pointe des Avirons (PHOTO 3) étaient vraiment sympathiques.

Le retour, juste avant le pont enjambant la Ravine Mila, se fait sans encombres (photo 5 -en bas à droite) sur un sentier net.

J’ai bien aimé. Je mets 2🧡 à cette randonnée , mais il faut dire que j’ai un faible pour l’Etang-Salé et ses sables noirs !🌴🌴

Merci à Fanch pour cette proposition (si tu en as d’autres n’hésite pas !).
Merci à Jean-Paul pour la qualité de sa trace et de sa fiche.

Petite annonce :j'ai perdu un gant noir lors de cette sortie.
Je pense l'avoir perdu entre le Piton Chisny et l'arche naturelle .
Donc si un randopitonneur pratique cette boucle et tombe sur ce gant, merci de me contacter.